Masq
Cie Alfred Alerte
Né de la rencontre entre Alfred Alerte, danseur et chorégraphe et François Place, auteur et illustrateur de nombreux contes, Masq se construit avant tout autour du texte écrit spécialement par l’écrivain sur l’histoire d’un prince qui bégaye.
L’air, la terre et l’eau accompagnent le personnage principal à travers son parcours initiatique.
On explore ici le corps qui se dérobe, ses disparitions, ses métamorphoses, grâce aux masques derrière lesquels ce ne sont pas des visages mais des corps entiers qui disparaissent.
Ainsi les corps parlent, se masquent, s’animalisent et s’humanisent au gré de nos imaginaires…
Entre conte et poésie, entre musique et danse, Masq est une fable onirique conçue comme une invitation au voyage.
Laissez vous emporter par la magie des corps mouvants, faites place au rêve et que chacun trouve sa propre route à travers le parcours initiatique du prince qui bégaie.
Crédits
Chorégraphie et scénographie : Alfred Alerte
Ecriture du conte : François Place
Création musicale : Thierry Bertomeu
Création lumières : Hervé Bontemps
Création des costumes et décors : Agathe Laemmel et Marion Laurens
Interprétation : Alfred Alerte, Lucie Anceau, Aurore Castan Aïn ou Annabelle Vatome
Photographies : Thomas Guyenet
Production : Cie Alfred Alerte, Association ADJAC
DANS LA PRESSE
« Un rêve éveillé !… Du début jusqu’à la fin de Masq, tout n’est que surprise et enchantement pour les yeux et les oreilles du spectateur : le décor, le maquillage et les costumes sont un savant mélange d’originalité, d’imagination et d’esthétisme. En bref, Masq est un spectacle de qualité qu’il serait dommage de rater. »
La Provence, juillet 2003
« Dans Masq, Alfred Alerte a exploré le corps qui se dérobe, ses disparitions, ses métamorphoses, grâce aux masques derrière lesquels ce ne sont pas les visages qui disparaissent mais les corps. Les corps font des pieds de nez, fesses par-dessus tête, et ce n’est pas sans invention et drôlerie. Tous les codes du corps sont renversés, les conformismes de l’anatomie pour mieux étonner le spectateur et lui faire oublier la performance physique au profit de l’onirisme […] Un spectacle plastique traversé par l’ondulation d’un conte initiatique qui emporte comme une vague vers la découverte d’autres modes d’expression que le langage des mots. »
Libération, novembre 2006