Chorégraphie : Alfred Alerte
Interprétation : Lucie Albon et Lucie Anceau
Régie technique : Yann Dupont, Laurent Schnebelin, Dominique Validire
Photographies : Carlos Ania
Production : Cie Alfred Alerte, Association ADJAC
Une danseuse et une illustratrice jouent le jeu de la rencontre artistique pour rendre hommage aux liens intergénérationnels dans une pièce pleine de poésie et de pudeur.
Un travail subtil autour de la notion d’héritage familial.
Une ode à nos grands-parents passeurs d’étoiles.
Un hymne à la vie rempli d’espoir.
Un message universel transmis de manière sensible par deux personnalités singulières.
Chorégraphie : Alfred Alerte
Interprétation : Lucie Albon et Lucie Anceau
Régie technique : Yann Dupont, Laurent Schnebelin, Dominique Validire
Photographies : Carlos Ania
Production : Cie Alfred Alerte, Association ADJAC
Spectacle créé le samedi 24 juillet 2021 à 22h pour la 17e Edition du Festival Chemins des Arts sur le plateau extérieur de la Bergerie de Soffin, en partenariat avec l’Agence Patricia Lucas.
« Selon les légendes, l’âme de nos ancêtres se niche au creux d’un arbre, entre les pierres du chemin ou dans le chant d’un passereau.
Pour moi elle se trouve aussi dans nos petits gestes quotidiens, au détour d’une recette de cuisine, dans notre manière de replacer une mèche de cheveux ou de plier le linge sec.
C’est vrai que dans le creux de la paume, l’eau de Cologne est toujours là.
Rien ne peut effacer cette douceur des regards qui continue de faire grandir.
A califourchon sur nos rêves, quand le vent souffle fort, nous nous accrochons encore au fil de leur délicatesse.
Et quand parfois nous semons nos larmes, de chaque goutte salée jaillit une bulle, une bulle-souvenir que l’on porte aux nues et qui nous porte loin.
Ce précieux terreau en poche, ils ne nous quittent pas.
Nous sommes armés et pouvons sauter à pieds joints dans les flaques de l’amertume…
Le confiturier en boussole, nos jours se colorent de promesses.
Dans le cercle de la vie, l’absence n’existe que pour les yeux.
C’est la force invisible des liens attendris. »
Eliette Macharam